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Le Kenya en un coup d'oeil

Statut : République
Superficie : 581 787 km²
Population : 32 021 856 habitants (2004)
Densité : 55.04 hab./km²
Langues officielles : Swahili, Anglais
Langues parlées : Kikuyu, Luo, Luyia, Kamba, Kalenjin, Gusii, Meru
Religions : Christianisme (50 %), Animistes (25 %), Islam (7 %)
Monnaie : Shilling
Capitale : Nairobi
Principales villes : Mombasa, Kisumu, Nakuru, Eldoret, Thika, Nyeri, Nanyuki, Kitale, Malindi, Kericho
Pays limitrophes : Ouganda, Soudan, Ethiopie, Somalie, Tanzanie
Point culminant : Mount Kenya 5 199 m

Le Kenya est traversé par la ligne de l'équateur. C'est par excellence le pays qu'on visite pour voir les magnisfiques réserves de grands fauves. Mais le Kenya est aussi le pays de tous les contrastes :

- le mont Kenya et la côte swahili au bord de l'océan indien (Lamu, Malindi, Mombasa)

- Le lac Victoria et les régions désertiques du nord-est

- les parcs nationaux avec les réserves et les zones protégés, mais aussi l'abatage sauvage des dernières forêts par des poplulations pauvres et sans autres ressources

- Les milliers des touristes occidentaux qui s'y rendent en vacances et d'autre part une population qui ne mange pas toujours à sa faim...

Esperance de vie moyenne : 46 ans (depuis la pandémie de VIH/SIDA)

	Le Kenya est pour beaucoup le royaume des animaux sauvages. Parmi les régions les plus connues citons le parc national d'Amboseli, dominé par les neiges éternelles de Kilimanjaro, et la réserve nationale de Masai Mara

Sans oublier les réserves de Samburu, Buffalo Springs et Shaba, les parcs de Tsavo-Est et Tsavo-Ouest près de Mombasa, le parc du lac Nakuru pour sa colonie des flamants roses (1.5 mio), la forêt de Kakamega pour les passionnés d'ornithologie (1075 espèces d'oiseau vivent au Kenya), et tant d'autres.

A l'instar des autres pays africains, les zones sauvages, les forêts et les habitats sont perpetuellement menacés par la une population de plus en plus nombreuse qui a besoin des terres pour s'établir, pour cultiver, pour faire paître le bétail et une urbanisation et indistrualisation croissantes.

Le braconnage n'a pas non plus disparu, notamment avec la levée de l'intérdiction sur le commerce de l'ivoire. Mais l'espoir n'est pas perdu, et le Kenya Wildlife Service est très actif avec des programmes qui apprennent aux citoyens de demain combien il est primordial de sauvegarder ce patrimoine.

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